Lou

Bonjour,

Je me présente, je m'appelle Lou ( et mon ancien meilleur ami se prénommait Loup ... ) . J'ai 19ans, mais sûrement moins en mon âme, et ... euh, j'aime pas lire les enormes ouvrages de merveilles et de splendides écrits qui nous renverse.. mais je rafole des petits textes, des petits ouvrages, ou tout ce qui est dramaturge.. Donc ce lieu peut me faire plaisir ^^ ..
J'ai découvert ça tout par hasard en activant mon défaut d'orthografe et tappant sur le moteur de recherche gargotte avec deux "t" au lieu d'un... Signe ?

Voilà, alors je m'adresse à toi demoiselle Laetitia Nebelwald car, d'après ce que tu écris, tu t'occupes des textes.. Et donc je pense que discuter avec toi peut m'être très bénéfique. Car j'aime écrire, mais ne sait pas comment, ni quoi . Alors si tu as des conseils et autres, j'en serais ravis. Et ravis d'être ici ^^

Et bien écoute, pourquoi pas!
Est-ce que tu as déjà écrit quelques textes que tu pourrais me montrer?
As-tu des auteurs fétiches?
Des thèmes qu'il te plairait de savoir écrire?
Parle moi un peu de ce que tu aimerais, afin que je puisse t'aider^^

( ou je ne suis que peu douée, ou vous devriez mettre un application pour voir le message auquel on répond ^^ ) ( viens de baisser la barre... il y a les messages affichés petit moment de solitude ^^ )

Alors alors, tout d'abord je tiens à te remercier de bien vouloir t'ouvrir à moi.
Je n'avais pas d'ordinateur jusqu'à maintenant à vrai dire, j'allais en bibliothèque, en café, chez des amis mais je n'avais pas de quoi sauvegardé mes propres textes... alors j'ai eu l'encre mais quand je n'aimes pas ... je jette.. ( je te laisse imaginé le nombre de mes essais qui sont en ce moment recycler et peut être même servent à ton écriture ^^ )
Il y a une chose que j'aime, c'est l'inconnu, pendant un moment j'ai converser sur chat ( comme je n'avais pas d'ordinateur fixe.. j'étais une SOF ) Et il y a une chose à laquelle je me suis attachée : mon intimité, mon inconnue...
J'ai un texte sur cet ordinateur ( tout nouveau héhé ) mais.. Je ne sais pas, je ne suis pas sure de vouloir le faire lire ... je suis une âme torturée :p, j'ai tout en moi mais rien en dehors sur le bout de mes doigts ou le son de ma bouche ...bref je perds le file à écrire ne regardant une série..

Pour ce qui est des auteurs, je ne me suis jamais restreint à apprécier plus certaines choses que d'autres ;) tout à du gout ;)

J'aimerai... pas trouver un thème, je crois que je suis assez étrange pour en trouver c'est juste apprendre à donner vie, à rendre les mots intenses et les phrases insoutenables à nos désirs, nos yeux, nos envies, nos volontés, notre âme, nous... tout

Allé j'arrête là, merci d'avoir accepté! Ou puis-je t'envoyer mes textes lorsque j'en écris ? Comme ça je fais vérifié avant tout autre chose =)

une petite règle que je ne voulais pas enfreindre est celle de la connexion le dimanche :p Mais bon.. Je suis troublée, totalement troublée, chamboulée, perdue... et en fait admirative et surement jalouse de voir qu'une amie sait écrire comme si elle l'avait fait toute sa vie, elle utilise les mots, les phrases, les expressions, les tournures tout d'une façon si délicieuse et intrigante, j'adore ce qu'elle fait... mais pourquoi pas moi alors que c'est moi qui adore tant ça... bref, j'ai retrouvé un vieux texte d'il y à longtemps que je n'avais pas jeter je l'ai réécris vite fait le voici : ( puisque je n'ai pas d'adresse pour t'envoyer et que je pars dans 20minutes en voyage . ) :

il ouvre la porte avec sa clef. La prend dans sa main, détourne les yeux de ceux de L pour la regarder. Son regard se fixe, il les touches, les caresses, les retournes, il examine leurs formes, puis enfin se retourne vers la serrure pour les faire pénétrer. Voilà qu'il les fait tourner avec fermeté, ni trop lentement, ni trop rapidement, comme impatient mais désireux de cette souffrance d'attendre. La porte est ouverte. Ils entrent. Il ferme la porte, pose les clefs et prend sa main, cette fois, ses yeux se fixe sur elle, il lève la tête, il fait traverser le couloir, la lumière n'est pas allumé, les illuminations extérieurs du salon font des reflets, des ondes à travers les vitres dans ce couloir. ils s'y sentent intrigués, intrigants. ils arrivent dans le salon. Le couloir donne sur la table à manger. Il y a huit chaises mi-bois, mi-verre au siège recouvert d'un coussin, une table rectangulaire en verre incrusté de tache, comme des copeaux de bois, les pieds sont d'ailleurs en bois, un bois d'acajou teinté sombre, mais au reflet lumineux et s'éclaircissant. Un tapis sépare ce meuble du sol. Il y a par la suite le coin salon avec le canapé en "U" et une petite table noir. La lumière allumé, des spots, des éclairages coincés dans un faut plafond. Une ambiance intime et obscène qui insiste au geste. L ne tient plus. Retourne la situation. Ce n'est plus lui qui la tient en main mais L qui le tien. L le fait reculer, le pousse avec légèreté mais fermeté contre le mur. Une main sur son ventre, l'autre sur son épaule et l'embrasse. Ses baisers commencent en étant superficiels et intenses. L Pose ses lèvres sur le contour de sa bouche. Se sont de doux baiser plein d'excitation. Justement, l'excitation monte, ses baisers aussi. L l'embrasse et en même temps ouvre son sanctuaire du gout, son entre au plaisir et y laisse échapper la douceur de sa langue qui vient de ci delà sur les contours de sa bouche. La main de L main se sert sur son ventre sur son épaule aussi, elle se met à bouger, la main sur le ventre se met à parcourir tout son torse, tout son corps situé à cette endroit. La main à l'épaule, elle, avance jusqu'au cou et le caresse. Il pose alors ses mains sur L, commence à la caresser, ses mains descendent des épaules à la taille, mais sans s'arrêter, comme pousser, et incontrôlé, ses mains se glisses jusqu'aux fesses de L, les entours, les serre, les caresses. A peine a-t-il commencé son plaisir à la caresse de cette partie du corps si douce et bien inventé par les divinités que L les prend les mains, les amènes à nouveau au mur et les tient d'une main. Ses baisers changent, elles fait entrer dans sa bouche sa langue. Elle la fait tourner, joue avec la sienne, l'excite et pour y parvenir mieux et plus fortement, elle descend sa seconde main jusqu'à l'entre jambe. Sans entrer dans le jean, L caresse son jouet pour la soirée. S'en est finit de ce moment. Trop fort, il la prend dans ses bras, une jambe de chaque coté de son corps, la soutien par les fesse, l'amène dans la chambre, sur le lit, et la déshabille pendant qu'elle en fait autant de lui. Sur les genoux tout deux, sur le lit, nus, il parcours de ses mains le corps de L, il chatouille son cou par la douceur de son geste, excite ses sensations par les contours de ses seins, la fait soupirer en passant sur son ventre, lui fait mordiller les lèvres lorsqu'il arrive à son sexe, mais pour l'attente, l'augmentation du désir et des impulsion, il ne s'y arrête pas et continue sur ses jambes . Il arrête. Il approche sa bouche de son cou. L ferme les yeux d'envie et d'impatience à recevoir les baisers. Mais rien. Ou mieux. Il souffle, délicatement dans son cou, sur sa poitrine, son ventre, sur son sexe, il souffle et ne s'arrête plus. L chavire, et se laisse allonger sur le lit, elle gémit, elle souffle. Sa respiration augmente, ses yeux se ferment, s'ouvrent, se perdent. Sa vue devient flou, elle ne voit plus qu'une chose, c'est l'excitation. L agit. Se relève, et l'allonge lui. Parcours munit de ses deux mains aussi douce que des plumes et limé que des griffes son corps. Caresse ses pectoraux, son ventre, griffe sa taille, et son bas ventre. Remonte jusqu'à son cou et l'embrasse. Descend jusqu'à son sexe en le couvrant de baiser, les mains caché sous son corps au niveau de ses fesses, les serrant par moment. Après avoir embrasser et laisser des empreintes de sa salive grâce à sa langue, il alla la chercher pour la faire revenir jusqu'à lui. Il se mit alors à l'embrasser avec force et intensité. Leurs corps ne se contrôlaient plus, les âmes entièrement libres et envahit de démon du désir. Il frotte son corps contre le sien, la caresse, lui embrasse les seins, lui mordille le cou et descend jusqu'à son sexe pour y glisser sa langue sur la partie extérieur du sexe de L tout en glissant ses doigts à l'intérieur. L n'en perd rien et se retourne pour aller se préoccuper du sexe masculin. Les soupirs, les gémissements, poussés sont réelles, sont forts. La respiration est forte comme si le corps était écrasé. écrasé par un millier de sensation. S'en suit la pénétration et la danse des deux corps en communion, en union totale alors que les deux être restent totalement différents. Deux corps qui se donnent et pendant cet instant ne s'appartiennent plus mais appartiennent à l'autre, c'est un moment ou enfin, les êtres ne se soucis plus des problèmes de la concessions ou du partage, de l'union car ils le font s'en même s'en rendre compte. Les meilleures relations les les relations sexuelles. L'amour devrait peut être s'en inspirer ? Mais n'en parler. Non.

je te conseille de poster plutôt ici tes textes à l'avenir ;) https://lagargotteacide.forumpro.fr/le-zinc-des-gargottiens-c3/

je te réponds en privé puisque là c'est une demande directe à moi, mais dans l'ensemble c'est quand meme mieux de poster dans l'autre section pour avoir l'avis de tout le monde :;)

oui m'dame ;)

"est-ce que tu as reçu mes mp?

Oui je viens de me connecter ^^
Assure toi, je ne prends pas mal, je suis honorée même.

Et bien pour ce qui est d'écrire, j'y travaille.
Merci en tout cas, beaucoup.